Emploi – Planète bureau http://www.planete-bureau.fr emploi & entreprise Mon, 19 Jul 2021 12:45:55 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.7.8 http://www.planete-bureau.fr/wp-content/uploads/2021/11/cropped-icon-32x32.png Emploi – Planète bureau http://www.planete-bureau.fr 32 32 Les différents types de contrats de travail http://www.planete-bureau.fr/les-differents-types-de-contrats-de-travail/ http://www.planete-bureau.fr/les-differents-types-de-contrats-de-travail/#respond Mon, 19 Jul 2021 12:45:55 +0000 http://www.planete-bureau.fr/?p=235 Avant de signer pour une entreprise, le futur salarié doit prendre le temps de vérifier le type de contrat qui lui sera proposé. Chaque contrat possède des termes précis et dépend du profil du salarié.

Le contrat à durée indéterminée (CDI)

Le CDI est considéré comme étant la forme normale du contrat de travail. Comme son nom l’indique, il est impossible de définir avec précision le terme du contrat. De ce fait, l’employeur et l’employé doivent respecter les clauses évoquées dans le document. Une rupture du contrat peut se faire à la demande des deux parties. Mais, cela doit se faire en respectant certaines conditions afin d’éviter une rupture de contrat abusive.

Le contrat à durée déterminée (CDD)

La particularité du CDD concerne le fait que le salarié et l’employeur savent déjà la fin du contrat avant même de le signer. Il n’y a pas une obligation de mettre un « terme précis » dans le contrat. En outre, ce contrat temporaire doit être établi pour une raison précise. On peut, par exemple, évoquer le remplacement d’un salarié ou l’attente d’une prise de fonction. Le CDD peut être converti en CDI si l’employeur le juge nécessaire.

Le contrat d’alternance

Le contrat d’alternance peut se présenter sous deux formes. La première option est le contrat d’apprentissage qui est uniquement réservé aux jeunes de 16 à 25 ans. Ce type de contrat évitera à l’employeur de verser une cotisation sociale pour le salarié en question. Vient ensuite le contrat de professionnalisation qui est aussi conçu pour les salariés de 16 à 25 ans. Mais, un travailleur de plus de 25 ans peut prétendre à ce contrat dans l’objectif d’améliorer ses compétences professionnelles.

Le contrat unique d’insertion (CUI)

Tout comme le contrat d’alternance, le CUI peut aussi se présenter sous deux options. On peut évoquer en premier lieu le Contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE) dont la durée minimum est de 6 mois. Ce type de contrat concerne principalement le secteur non marchand. La seconde option est le Contrat initiative emploi (CIE) qui peut courir jusqu’à 24 mois. Ce contrat peut concerner de nombreux secteurs d’activité. En tout cas, l’objectif d’un CUI est d’aider un chômeur à dénicher un travail.

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Avant de signer pour une entreprise, le futur salarié doit prendre le temps de vérifier le type de contrat qui lui sera proposé. Chaque contrat possède des termes précis et dépend du profil du salarié.

Le contrat à durée indéterminée (CDI)

Le CDI est considéré comme étant la forme normale du contrat de travail. Comme son nom l’indique, il est impossible de définir avec précision le terme du contrat. De ce fait, l’employeur et l’employé doivent respecter les clauses évoquées dans le document. Une rupture du contrat peut se faire à la demande des deux parties. Mais, cela doit se faire en respectant certaines conditions afin d’éviter une rupture de contrat abusive.

Le contrat à durée déterminée (CDD)

La particularité du CDD concerne le fait que le salarié et l’employeur savent déjà la fin du contrat avant même de le signer. Il n’y a pas une obligation de mettre un « terme précis » dans le contrat. En outre, ce contrat temporaire doit être établi pour une raison précise. On peut, par exemple, évoquer le remplacement d’un salarié ou l’attente d’une prise de fonction. Le CDD peut être converti en CDI si l’employeur le juge nécessaire.

Le contrat d’alternance

Le contrat d’alternance peut se présenter sous deux formes. La première option est le contrat d’apprentissage qui est uniquement réservé aux jeunes de 16 à 25 ans. Ce type de contrat évitera à l’employeur de verser une cotisation sociale pour le salarié en question. Vient ensuite le contrat de professionnalisation qui est aussi conçu pour les salariés de 16 à 25 ans. Mais, un travailleur de plus de 25 ans peut prétendre à ce contrat dans l’objectif d’améliorer ses compétences professionnelles.

Le contrat unique d’insertion (CUI)

Tout comme le contrat d’alternance, le CUI peut aussi se présenter sous deux options. On peut évoquer en premier lieu le Contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE) dont la durée minimum est de 6 mois. Ce type de contrat concerne principalement le secteur non marchand. La seconde option est le Contrat initiative emploi (CIE) qui peut courir jusqu’à 24 mois. Ce contrat peut concerner de nombreux secteurs d’activité. En tout cas, l’objectif d’un CUI est d’aider un chômeur à dénicher un travail.

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Chômeur et formation rémunérée http://www.planete-bureau.fr/chomeur-et-formation-remuneree/ http://www.planete-bureau.fr/chomeur-et-formation-remuneree/#respond Wed, 22 Mar 2017 17:21:50 +0000 http://www.planete-bureau.fr/?p=27 Pour les personnes sans emploie, suivre une formation augmente leur chance de dénicher du travail. Pour ce faire, elles doivent avant toute chose effectuer une inscription auprès de Pôle Emploi afin de bénéficier le statut de demandeur d’emploi. Le responsable qui prendra en charge le chômeur va constituer avec celui-ci un projet personnalisé d’accès à l’emploi (PPAE) où va être consigné la formation rémunérée.

Les corps tuteurs

De nombreux établissements et collectivités sont favorables pour financer les formations des demandeurs d’emploi. On peut citer Pôle Emploi, les régions, l’Etat, les OPCA. Ceux-ci réunissent les participations budgétaires des entreprises destinées à la rétribution des formations. Le montant alloué peut être utilisé pour payer les frais pédagogiques et celui qui va profiter de la formation.

Une rétribution en fonction de votre situation

Dans le cas où vous étiez actif professionnellement durant 4 mois et 2 jours au cours des 2 ans et 4 mois précédant votre licenciement, vous êtes éligible à la ARE ou allocation d’aide au retour à l’emploi. Pour les personnes ayant profité d’une formation du PPAE, elles peuvent jouir d’une AREF ou allocation d’aide au retour à l’emploi-formation. Pour ceux qui ne peuvent pas obtenir l’ARE, ils ont la possibilité de s’inscrire à une formation parrainée par une administration publique, l’AFPA, le CNAM ou par un établissement non-gouvernemental.

La durée de la formation

Si vous arrivez à prouver que vous avez été actif durant 6 mois au cours d’une période de 1 an, il est de votre droit de bénéficier d’une formation qui dure 1 an au minimum. En même temps, vous percevrez 652,02 € par mois. Dans le cas où vous avez eu un emploi durant 3 ans de façon continue ou entrecoupée, et que vous participez à formation de 1 à 3 ans, vous pourrez profiter d’une indemnité équivaut à l’ARE.

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Pour les personnes sans emploie, suivre une formation augmente leur chance de dénicher du travail. Pour ce faire, elles doivent avant toute chose effectuer une inscription auprès de Pôle Emploi afin de bénéficier le statut de demandeur d’emploi. Le responsable qui prendra en charge le chômeur va constituer avec celui-ci un projet personnalisé d’accès à l’emploi (PPAE) où va être consigné la formation rémunérée.

Les corps tuteurs

De nombreux établissements et collectivités sont favorables pour financer les formations des demandeurs d’emploi. On peut citer Pôle Emploi, les régions, l’Etat, les OPCA. Ceux-ci réunissent les participations budgétaires des entreprises destinées à la rétribution des formations. Le montant alloué peut être utilisé pour payer les frais pédagogiques et celui qui va profiter de la formation.

Une rétribution en fonction de votre situation

Dans le cas où vous étiez actif professionnellement durant 4 mois et 2 jours au cours des 2 ans et 4 mois précédant votre licenciement, vous êtes éligible à la ARE ou allocation d’aide au retour à l’emploi. Pour les personnes ayant profité d’une formation du PPAE, elles peuvent jouir d’une AREF ou allocation d’aide au retour à l’emploi-formation. Pour ceux qui ne peuvent pas obtenir l’ARE, ils ont la possibilité de s’inscrire à une formation parrainée par une administration publique, l’AFPA, le CNAM ou par un établissement non-gouvernemental.

La durée de la formation

Si vous arrivez à prouver que vous avez été actif durant 6 mois au cours d’une période de 1 an, il est de votre droit de bénéficier d’une formation qui dure 1 an au minimum. En même temps, vous percevrez 652,02 € par mois. Dans le cas où vous avez eu un emploi durant 3 ans de façon continue ou entrecoupée, et que vous participez à formation de 1 à 3 ans, vous pourrez profiter d’une indemnité équivaut à l’ARE.

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Quelles études pour devenir électricien ? http://www.planete-bureau.fr/quelles-etudes-pour-devenir-electricien/ http://www.planete-bureau.fr/quelles-etudes-pour-devenir-electricien/#respond Wed, 09 Nov 2016 12:52:49 +0000 http://www.planete-bureau.fr/?p=26 Le monde cesserait de tourner sans l’électricité. Qu’il vienne d’un réseau ou d’une centrale autonome, le courant est indispensable au quotidien. Le spécialiste de cette source d’énergie a une certaine importance. Ce professionnel a toutefois besoin de disposer de bonnes qualifications. Voici les formations qu’il peut suivre avant de pratiquer son métier.

Les qualifications de base pour être électricien

Il est possible d’intégrer le métier d’électricien avec un CAP. Le certificat d’aptitude professionnelle est un diplôme qui se prépare en deux ans. La formation est ouverte aux personnes ayant fait les premières années de collège. L’option Préparation et Réalisation d’ouvrages électriques permet d’apprendre les bases de la profession. Le titulaire du CAP devrait pouvoir assister un autre électricien. Il peut également exécuter certaines tâches sous le contrôle d’un supérieur. C’est un poste évolutif, mais l’autonomie ne viendra pas avant longtemps.

Intégrer la profession avec une formation de niveau Brevet

Le titulaire du brevet d’étude professionnel ou BEP en électricité est beaucoup plus autonome. Cette qualification s’obtient après une formation de deux ans pour les personnes ayant le CAP. Plusieurs options sont disponibles. Le technicien peut choisir de travailler dans le domaine des installations et des équipements électriques. Il a également la possibilité d’opter pour la branche électrotechnique, énergie ainsi qu’équipements communicants. Une autre filière concerne l’électricité industrielle.

Quelques études supérieures pour une belle carrière

Pour les électriciens qui occupent un poste à responsabilité, il vaut mieux disposer d’un diplôme de niveau III. C’est aussi la qualification idéale pour s’établir à leur compte. En d’autres mots, ces professionnels ont intérêt à décrocher un BTS électrotechnique ou en domotique. D’autres mentions existent, notamment la maintenance industrielle. Outre la connaissance des techniques, de solides notions en normes de sécurité sont indispensables. Pour les formations de niveau universitaire, un peu de formation en gestion devrait aussi compléter le cursus.

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Le monde cesserait de tourner sans l’électricité. Qu’il vienne d’un réseau ou d’une centrale autonome, le courant est indispensable au quotidien. Le spécialiste de cette source d’énergie a une certaine importance. Ce professionnel a toutefois besoin de disposer de bonnes qualifications. Voici les formations qu’il peut suivre avant de pratiquer son métier.

Les qualifications de base pour être électricien

Il est possible d’intégrer le métier d’électricien avec un CAP. Le certificat d’aptitude professionnelle est un diplôme qui se prépare en deux ans. La formation est ouverte aux personnes ayant fait les premières années de collège. L’option Préparation et Réalisation d’ouvrages électriques permet d’apprendre les bases de la profession. Le titulaire du CAP devrait pouvoir assister un autre électricien. Il peut également exécuter certaines tâches sous le contrôle d’un supérieur. C’est un poste évolutif, mais l’autonomie ne viendra pas avant longtemps.

Intégrer la profession avec une formation de niveau Brevet

Le titulaire du brevet d’étude professionnel ou BEP en électricité est beaucoup plus autonome. Cette qualification s’obtient après une formation de deux ans pour les personnes ayant le CAP. Plusieurs options sont disponibles. Le technicien peut choisir de travailler dans le domaine des installations et des équipements électriques. Il a également la possibilité d’opter pour la branche électrotechnique, énergie ainsi qu’équipements communicants. Une autre filière concerne l’électricité industrielle.

Quelques études supérieures pour une belle carrière

Pour les électriciens qui occupent un poste à responsabilité, il vaut mieux disposer d’un diplôme de niveau III. C’est aussi la qualification idéale pour s’établir à leur compte. En d’autres mots, ces professionnels ont intérêt à décrocher un BTS électrotechnique ou en domotique. D’autres mentions existent, notamment la maintenance industrielle. Outre la connaissance des techniques, de solides notions en normes de sécurité sont indispensables. Pour les formations de niveau universitaire, un peu de formation en gestion devrait aussi compléter le cursus.

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